BÁC

Comme certains le savent, lors du mois d'avril, j'ai passé une semaine à BÁC/Baile Átha Cliath/Dublin. Is an-mhaith liom Éire. Cela a été une superbe semaine et honnêtement, je ne suis sentis bien dans cette ville, un peu comme si j'étais chez moi, un peu comme à Lyon ou Roazhon. Et je meurt d'envie d'y retourner, même si j'ai eu du mal à m'y faire comprendre. Je manque décidément de pratique dans l'usage de l'anglais oral. La prochaine fois, j'amène une ardoise pour discuter, au cas où!
Pourquoi ce post près de trois mois après ce séjour ? Tout simplement parce que je viens de remettre la main sur les photos !
Tout d’abord, quelques photos prises du Gravity Bar de la Guinness Storehouse, qui offre le plus beau panorama de la ville. Lesquelles ne furent pas aisé à prendre, vu que tenir un pinte d’une main et l’appareil photo de l’autre est assez mal-aisé. (Sed > Réputation: pochtron +1)

The Four Courts abritant les quatre cours de justice (dont la Cours Suprême) Elles avaient été détruites en 1922 lors des insurrections sur la partition de l’état et reconstruites à l’identique. Derrière on peut voir The Spire, sur laquelle je reviendrai.

Cela paraît logique, mais le musée Guinness se trouve juste derrière l’usine de la porte Saint-James, ce qui fait que l’on a une excellente vue dessus. Ces cuves sont peut-être pas très esthétique, mais le black stuff inside est délicieux. (Sed > Réputation: pochtron +2)

Church of SS Augustine and John, fort jolie église qui se détache bien dans le paysage, que j’ai pris pour le clocher de Trinity College... Mea Culpa. (l’alcool ? Sed > Réputation: pochtron +3)

Les Dublin Mountains, non parce que l’Irlande, c’est quand même ses collines, non ? Or vert inaccessible, bon je vais me rabattre sur l’or noir !!! (Sed > Réputation: pochtron +4)

Et une cité ouvrière typique, en briques rouges.

Le livre d’or de la Guinness Storehouse, un cuve reconvertie... mon hommage est sur l’image, dans le coin gauche. Quand au contenu du dit-message, j’ai eu le temps de l’oublier.

La Saint-James Gate, entrée mythique de la brasserie Guinness. Faute d’avoir la sortie d’un toucan, on se contentera d’un voiture ! Et si cette porte est sir blanche, c’est parce que je les suspecte de la repeindre tout les ans ! Mon seul regret la concernant, c’est que je ne verrai jamais les dates 1759-10759 inscrites, qui marquerait la fin du bail de la brasserie (mais l’humanité verra-t-elle, elle-même, cette date ?)

La statue d’O’Connell dans Lower O’Connell Street vu au travers du première étage du Burger King, à la tombée de la nuit.
C’est bon Burger King ! Double Whooopper ! Et leur idée du tout modifiable, j’adore ! Cela dit, on trouve des phrase litigieuse sur leur goblet : ‘Maybe you want to go topless’ merci mais en avril, je garde ma chemise !

The Spire, vue de sa base. Cette colonne, qui se trouve à l’intersection entre O’Connell Street, Henry Street, et Earl Street North (prolongement de Talbot Street), soit trois rues où j’ai souvent traîné mes guêtres, est devenu le symbole de la ville et surtout remplace le symbole de l’impérialisme anglais qu’était la colonne Nelson.

Lower O’Connell Street vu de The Squire. A droite, on peut voir le General Post Office.
Si je n’était fait que des photo de Lower, c’est parce que Upper O’Connell Street était un grande partie sous les échafaudages.

Isaacs Hostel, Frenchman’s lane.
Un endroit assez sympathique, sauf lorsque son dortoir est occupé par un groupe de furies sans savoir-vivre qui arrive en beuglant alors que l’on dort et qui ne respecte pas les règles du lieu !

The General Post Office, bâtiment construit entre 1815 et 1818, surtout connu pour avoir servi de refuge aux insurgés aux Pâques 1916.

Du marbre, des boiseries, des cuivres, c’est rarement vu cela dans un poste en France ! Même la poste centrale de Rennes (pourtant magnifique de l’extérieur et monument classé) n’est pas si belle !

Premier plaque commémorative de l’histoire du General Post Office, ses différentes destructions et reconstructions.
Et en version bilingue ! Is maith liom Gaeilge !

La seconde plaque du souvenir, elle sur l’insurrection de Pâques 1916.
Outre la beauté de ces plaques, c’était pour avoir les textes en irlandais (avec traduction) Et chose amusante, les langues sont inversées entre les deux plaques.

Mais surtout BÁC en avril 2006, c’était le festival Beckett. Il était impossible d’échapper aux affiches noires et or. Avec des slogan surtout basé sur En attendant Godot, comme ‘Surfing for Godot’ (pour le site web du festival) Mais ma favorite reste la suivante :

Voilà fin du diaporama ! Et moi, j’ai envie d’y retourner ! Mais j’ai d’autres terres à explorer pour l’heure, de manière assez urgente !


REVENGE FOR MY CHILDREN AND MY BELOVED !