De l'elimination des cafards pour sortir de la crise.
Que pensez-vous de la politique expansionniste des cafards d'amérique latine comparée au rôle des eaux fluviales en Equateur sur le réchauffement climatique ?
Je ne suis pas certain que la question se pose en ces termes. Certes, l'expansionnisme blattidé entraîne une perturbation de l'écosystème, qui, par un système de causes à effets, amplifie les crues fluviales en Equateur et aggrave le réchauffement climatique, mais n'est-ce point passer sous silence un facteur majeur, à savoir l'action de l'homme ?
Faut-il voir cette expansion comme un dérèglement de la nature ou une tentative d'icelle de s'auto-réguler face à la politique agricole intensive ayant cours en ces contrées. Il est d'ailleurs notable que plus l'homme essaye de lutter contre cette invasion, usant et abusant de produits chimiques, qui marquent l'écosystème, plus elle se fait forte et résistante.
De surcroît, le combat est perdu d'avance. Le renouvellement des générations de blattes, et la faculté d'adaptation qui en découle, est tel que les cafards sont immunisés aux pesticides avant même que l'on est le temps de les utiliser. Cette même faculté d'adaptation fait qu'ils ne sont que peu affectés par le réchauffement climatique.
Cependant il existe une solution totalement écologique contre l'invasion blattidé. En lieu et place de pesticides, il faut utiliser des écraseur de cafards. Ce qui aurait, de plus, l'avantage de régler le problème du chômage à l'échelle planétaire, vu le nombre de sodomisateurs drosophile patentés, qui, grâce à une légère reconversion, pourraient exercer cette profession.
Plus d'expansion de blattes, diminution de la perturbation de l'écosystème, des crues fluviales et donc du réchauffement climatique.
Pour l'éradication complète du dit-fléau, il reste encore d'autres solutions à trouver, comme l'administration massive, voire systématique, de Rennie Déflatine aux bovins.
Je ne suis pas certain que la question se pose en ces termes. Certes, l'expansionnisme blattidé entraîne une perturbation de l'écosystème, qui, par un système de causes à effets, amplifie les crues fluviales en Equateur et aggrave le réchauffement climatique, mais n'est-ce point passer sous silence un facteur majeur, à savoir l'action de l'homme ?
Faut-il voir cette expansion comme un dérèglement de la nature ou une tentative d'icelle de s'auto-réguler face à la politique agricole intensive ayant cours en ces contrées. Il est d'ailleurs notable que plus l'homme essaye de lutter contre cette invasion, usant et abusant de produits chimiques, qui marquent l'écosystème, plus elle se fait forte et résistante.
De surcroît, le combat est perdu d'avance. Le renouvellement des générations de blattes, et la faculté d'adaptation qui en découle, est tel que les cafards sont immunisés aux pesticides avant même que l'on est le temps de les utiliser. Cette même faculté d'adaptation fait qu'ils ne sont que peu affectés par le réchauffement climatique.
Cependant il existe une solution totalement écologique contre l'invasion blattidé. En lieu et place de pesticides, il faut utiliser des écraseur de cafards. Ce qui aurait, de plus, l'avantage de régler le problème du chômage à l'échelle planétaire, vu le nombre de sodomisateurs drosophile patentés, qui, grâce à une légère reconversion, pourraient exercer cette profession.
Plus d'expansion de blattes, diminution de la perturbation de l'écosystème, des crues fluviales et donc du réchauffement climatique.
Pour l'éradication complète du dit-fléau, il reste encore d'autres solutions à trouver, comme l'administration massive, voire systématique, de Rennie Déflatine aux bovins.