Non rien III
Ô rage ! Ô désespoir ! Ô aspirateur ennemi !
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
A peine, à l'étage, es-tu passé
Qu'à mes pieds, tu reviens te prélasser.
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
A peine, à l'étage, es-tu passé
Qu'à mes pieds, tu reviens te prélasser.